Société pour un droit libéral sur les armes

Unis nous sommes forts ! PROTELL défend les intérêts de tous les citoyens et citoyennes possédant et portant des armes. PROTELL s’oppose à toutes restrictions de la possession d’armes par les citoyennes et citoyens responsables.

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Gesetze, bei deren Ausarbeitung die Schweiz keinerlei Mitsprache hatte, würden sofort in der Schweiz gelten. Die direkte Demokratie wäre damit irreparabel beschädigt und das Schweizervolk zu einem grossen Teil entmachtet – ein abgesetzter Souverän hat auch keine Waffen mehr zu besitzen.

Aus diesem Grund ruft PROTELL dazu auf, die EU-Verträge abzulehnen.

👉🏻 protell.ch/akut-gefaehrdet-souveraenitaet-und-waffenbesitz/

Les lois élaborées sans que la Suisse ait eu son mot à dire s’appliqueraient immédiatement dans notre pays. La démocratie directe serait ainsi gravement compromise et le peuple suisse serait en grande partie privé de son pouvoir – un souverain destitué n’a plus le droit de posséder des armes.

C’est pourquoi PROTELL appelle à rejeter les accords avec l’UE.

👉🏻 protell.ch/fr/en-danger-imminent-souverainete-et-possession-darmes/
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Gesetze, bei deren Ausarbeitung die Schweiz keinerlei Mitsprache hatte, würden sofort in der Schweiz gelten. Die direkte Demokratie wäre damit irreparabel beschädigt und das Schweizervolk zu einem grossen Teil entmachtet – ein abgesetzter Souverän hat auch keine Waffen mehr zu besitzen.

Aus diesem Grund ruft PROTELL dazu auf, die EU-Verträge abzulehnen.

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Les lois élaborées sans que la Suisse ait eu son mot à dire s’appliqueraient immédiatement dans notre pays. La démocratie directe serait ainsi gravement compromise et le peuple suisse serait en grande partie privé de son pouvoir – un souverain destitué n’a plus le droit de posséder des armes.

C’est pourquoi PROTELL appelle à rejeter les accords avec l’UE.

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✍🏼 Meldepflichtige Waffen kaufen – so geht’s richtig.

Du willst ein schönes Stück wie im Video erwerben? Dann brauchst du einen Schriftlichen Vertrag – korrekt ausgefüllt und dreifach:
📄 1x für dich
📄 1x für den Verkäufer
📄 1x für die Polizei deines Wohnkantons – spätestens 30 Tage nach dem Kauf einsenden.

👉🏻 Wichtig:
✅ Identitätskarte bereithalten – die Nummer wird im Vertrag erfasst.
✅ Verkäufer: Bei Unbekannten empfiehlt sich ein Strafregisterauszug vom Käufer.
✅ Viele Kantone bieten den Service auch digital über suisse-epolice.ch an.

Weitere Informationen findest du auf 👉🏻 protell.ch
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SwissAAA und CMA Sport unterstützen PROTELL - Gesellschaft für ein freiheitliches Waffenrecht !
Werdet Mitglied und steht ein für ein freiheitliches Waffenrecht. Nur gemeinsam sind wir stark. Von alleine erhalten sich unsere Rechte und damit auch der Schiesssport nicht.
www.protell.ch
#swissaaa #cmasport #protell
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Mit einer parlamentarischen Initiative fordert Nationalrätin Jessica Jaccoud (SP) die Einführung einer obligatorischen Einziehung von Schusswaffen im Falle einer konfliktreichen Trennung, bzw. wenn eine Anzeige – oder lediglich eine Meldung – wegen häuslicher Gewalt vorliegt.

Die Initiative erweckt den Eindruck, als ob die Polizei angesichts des Missbrauchspotenzials von Waffen im Falle eines Beziehungskonflikts heute machtlos sei. Nichts könnte weiter von der Realität entfernt sein. Liegt eine Meldung vor, darf die Polizei sofort handeln. Sogar ohne Anordnung durch die Staatsanwaltschaft. Die Waffen bleiben anschliessend so lange sichergestellt, bis die Situation überprüft werden konnte. Dies hat zur Folge, dass – selbst im Falle eines ungerechtfertigten Verdachts – Monate oder sogar Jahre vergehen können, bis ein Waffenbesitzer sein Eigentum zurückerhält. Oftmals muss er dafür mühsame und kostspielige Schritte unternehmen, wie z. B. das Vorlegen eines psychiatrischen Gutachtens.

👉🏻 protell.ch/schluss-mit-der-kriminalisierung-von-maennern/

Par une initiative parlementaire, la Conseillère nationale socialiste Jessica Jaccoud demande que soit instaurée une obligation légale de confiscation des armes à feu en cas de séparation conflictuelle ou de plainte/dénonciation pour violence conjugale.

La police et les autorités de poursuite pénale seraient-elles aujourd’hui démunies face aux risques d’usage abusif des armes à feu dans la sphère privés en cas de conflit conjugal ? Evidemment pas ! En présence d’indices suffisants, la possibilité existe déjà de saisir, puis de séquestrer les armes, au moins le temps de vérifier les soupçons formulés. Disons même que la pratique devient de plus en plus restrictive : de fait, dans notre société où règne le fantasme du risque zéro, les autorités ont la main de plus en plus lourde avec pour conséquence que même en cas de plainte ou de soupçons injustifiés, il faut ensuite des mois, voire des années au propriétaires des armes séquestrées, au prix de démarches lourdes et coûteuses, notamment d’obligation de consulter un psychiatre, pour espérer les récupérer éventuellement.

👉🏻 protell.ch/fr/la-criminalisation-des-hommes-ca-suffit/
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Mit einer parlamentarischen Initiative fordert Nationalrätin Jessica Jaccoud (SP) die Einführung einer obligatorischen Einziehung von Schusswaffen im Falle einer konfliktreichen Trennung, bzw. wenn eine Anzeige – oder lediglich eine Meldung – wegen häuslicher Gewalt vorliegt.

Die Initiative erweckt den Eindruck, als ob die Polizei angesichts des Missbrauchspotenzials von Waffen im Falle eines Beziehungskonflikts heute machtlos sei. Nichts könnte weiter von der Realität entfernt sein. Liegt eine Meldung vor, darf die Polizei sofort handeln. Sogar ohne Anordnung durch die Staatsanwaltschaft. Die Waffen bleiben anschliessend so lange sichergestellt, bis die Situation überprüft werden konnte. Dies hat zur Folge, dass – selbst im Falle eines ungerechtfertigten Verdachts – Monate oder sogar Jahre vergehen können, bis ein Waffenbesitzer sein Eigentum zurückerhält. Oftmals muss er dafür mühsame und kostspielige Schritte unternehmen, wie z. B. das Vorlegen eines psychiatrischen Gutachtens.

👉🏻 https://protell.ch/schluss-mit-der-kriminalisierung-von-maennern/

Par une initiative parlementaire, la Conseillère nationale socialiste Jessica Jaccoud demande que soit instaurée une obligation légale de confiscation des armes à feu en cas de séparation conflictuelle ou de plainte/dénonciation pour violence conjugale.

La police et les autorités de poursuite pénale seraient-elles aujourd’hui démunies face aux risques d’usage abusif des armes à feu dans la sphère privés en cas de conflit conjugal ? Evidemment pas ! En présence d’indices suffisants, la possibilité existe déjà de saisir, puis de séquestrer les armes, au moins le temps de vérifier les soupçons formulés. Disons même que la pratique devient de plus en plus restrictive : de fait, dans notre société où règne le fantasme du risque zéro, les autorités ont la main de plus en plus lourde avec pour conséquence que même en cas de plainte ou de soupçons injustifiés, il faut ensuite des mois, voire des années au propriétaires des armes séquestrées, au prix de démarches lourdes et coûteuses, notamment d’obligation de consulter un psychiatre, pour espérer les récupérer éventuellement.

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